Vous-êtes vous déjà attardés au bord d'une route à regarder les voitures passer ? Plus précisément, vous-êtes vous déjà amusés à constater parmi les couples qui tenait le plus souvent le volant et qui tenait la place du passager ?
J'ai pour ma part fait cette expérience ce week-end, avec un constat relativement clair dont je vous laisse faire l'expérience ! Constat qui rendra certainement indifférents la plupart des hommes, du moins ceux qui n'ont pas encore lu le dernier roman de Haruki Murakami Des hommes sans femmes, et particulièrement la nouvelle Drive my car.
Car oui ! Nous sommes en 2017, et les femmes sont bien décidées à saisir leur chance pour faire bouger les lignes de la mixité. Le 3ème Lucky Talk organisé par FDJ et sa Fondation sur le sujet nous en a plus que convaincus, avec au programme de cette nouvelle session de Question(s) de Chance des sujets comme :
Pour y répondre, l'animateur-vedette du débat Frédéric Taddeï a réuni autour de sa table plusieurs personnalités féminines, à savoir :
Stéphane Pallez a de son côté initié cette édition en partageant son expérience de femme dirigeante, s’attardant notamment sur le rôle de la mixité en entreprise.
Pour Elisabeth Belmas, une distinction doit être faite entre mixité et égalité, rappelant que cette dernière « fut longue à obtenir pour les femmes. ». L’enseignante-chercheuse a dressé le bilan d’une « parité [qui] est aujourd’hui en progression » puisque « les femmes sont en moyenne plus diplômées que les hommes, même si elles peinent à acquérir des postes de direction (40% en 2017). ».
A la lumière de son expérience d’ancienne handballeuse professionnelle ainsi que de Présidente du CNDS, Béatrice Barbusse a quant à elle affirmé que « les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans le sport. ». Elle souhaite que les stéréotypes inculqués depuis l’enfance concernant le sport disparaissent et que les femmes puissent pratiquer les sports de leur choix sans avoir à se justifier. Vive le football et autre rugby féminin !
Une conclusion pleine d'espoir pourrait donc être faite à toutes les femmes qui hésiteraient encore à saisir leur chance : OSEZ ! Prenez le volant :)
Car oui ! Nous sommes en 2017, et les femmes sont bien décidées à saisir leur chance pour faire bouger les lignes de la mixité. Le 3ème Lucky Talk organisé par FDJ et sa Fondation sur le sujet nous en a plus que convaincus, avec au programme de cette nouvelle session de Question(s) de Chance des sujets comme :
- Comment la mixité s’est elle développée ?
- Comment optimiser les chances de faire bouger les lignes de la mixité dans l’entreprise ?
- La mixité est-elle une chance d’améliorer la performance ?
- La mixité est-elle une chance pour la société de demain ?
Pour y répondre, l'animateur-vedette du débat Frédéric Taddeï a réuni autour de sa table plusieurs personnalités féminines, à savoir :
- Stéphane Pallez, Présidente-Directrice Générale de FDJ
- Elisabeth Belmas, Professeur des universités, Spécialiste d’histoire moderne et du jeu, Secrétaire générale du GIS « Jeu et Société »
- Béatrice Barbusse, Enseignante-Chercheuse, Présidente du Centre National pour le Développement du Sport, Auteure de « Du Sexisme dans le Sport »
- Mercedes Erra, Fondatrice de BETC, Présidente exécutive d’Havas Worldwide et Présidente du Conseil d’administration du Musée de l’histoire de l’immigration
Stéphane Pallez a de son côté initié cette édition en partageant son expérience de femme dirigeante, s’attardant notamment sur le rôle de la mixité en entreprise.
Une entreprise performante est une entreprise qui sait utiliser la diversité et qui participe au bien-vivre au travail. C’est pourquoi la mixité doit être portée au plus haut niveau d’une entreprise.La Présidente-Directrice Générale de FDJ a également déclaré que la mixité doit être l’affaire de tous, à l'exemple de l’entreprise qu’elle dirige.
Il faut mesurer et se fixer des objectifs. La finalité première de FDJ à l’horizon 2020 est la représentation de sa ligne managériale par 45% de femmes, au minimum.Stéphane Pallez a conclu son intervention en mentionnant que « les femmes ont de grandes opportunités mais doivent être en capacité d’y croire elles-mêmes pour les réaliser. ».
Pour Elisabeth Belmas, une distinction doit être faite entre mixité et égalité, rappelant que cette dernière « fut longue à obtenir pour les femmes. ». L’enseignante-chercheuse a dressé le bilan d’une « parité [qui] est aujourd’hui en progression » puisque « les femmes sont en moyenne plus diplômées que les hommes, même si elles peinent à acquérir des postes de direction (40% en 2017). ».
A la lumière de son expérience d’ancienne handballeuse professionnelle ainsi que de Présidente du CNDS, Béatrice Barbusse a quant à elle affirmé que « les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans le sport. ». Elle souhaite que les stéréotypes inculqués depuis l’enfance concernant le sport disparaissent et que les femmes puissent pratiquer les sports de leur choix sans avoir à se justifier. Vive le football et autre rugby féminin !
Je suis toujours bluffée par les femmes !Introduisant son intervention par ces mots, Mercedes Erra nous rappelle un constat tout aussi bluffant : 69% du travail humain est réalisé par des femmes, là où seuls 10% des revenus générés leur reviennent à l'échelle mondiale.
Je sais que les femmes travaillent énormément et naturellement. Je pense qu'elles sont extraordinairement courageuses.Nous retiendrons de l'intervention de la fondatrice de BETC que la mixité est la force d’une entreprise, une agence mixte étant une agence gagnante. Le féminisme existe selon elle pour « faire du bien aux hommes et aux femmes. ».
Une conclusion pleine d'espoir pourrait donc être faite à toutes les femmes qui hésiteraient encore à saisir leur chance : OSEZ ! Prenez le volant :)
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