Car derrière cette statistique, qui semble ultra contradictoire je vous l’accorde, reste le sujet d’être en capacité de trouver LE job idéal. Celui qui correspondrait à 100% de nos convictions les plus profondes. Pas évident !
Même lorsque l’on crée sa boîte, on en vient finalement à bosser pour des clients ayant des valeurs un peu différentes des nôtres, sans pour autant qu’ils soient à blâmer.
Loin de moi l’idée de vous encourager à rejoindre une entreprise qui n’a pas les mêmes convictions que les vôtres, mais j’avais quand même envie d’adresser 3 messages aux candidats qui se trouveraient dans ces 59%.
1 - Déculpabilisez
Chercher un job, c’est pas forcément une partie de plaisir. Savoir ce que l’on veut, quel type de management nous plairait, quel salaire, quelles missions, quel rythme de travail… Bref, ça pose énormément de questions.
Nos convictions personnelles entrent évidemment aussi en ligne de compte, mais plein d'éléments viennent finalement influencer la décision.
2 - Partagez
Bosser dans une boîte dont on ne partage pas toutes les convictions, c’est une super occasion de partager les vôtres avec vos collègues à la cantine ou en réunion. Certains vous regarderont un peu bizarrement, d’autres les prendront à la rigolade, mais soyez sûr que certains y seront sensibles.
3 - La réalité est rarement noire ou blanche
Et sauf à parler d’entreprises clairement toxiques, il me semble important de considérer qu’une boîte :
- Ça crée des jobs
- Ça fait vivre des fournisseurs
- Ça développe des savoir-faire
- Ça crée du lien social et reconnecte des milliers de gens à l’emploi
- Ça permet de lutter contre l’isolement
- Ça engage souvent des projets RSE vraiment cools
- …
Alors au fond, il y a des boîtes pour lesquelles je ne voudrais jamais travailler. Mais si mes convictions peuvent amener un regard neuf à l’entreprise dans laquelle je bosse : LET’S GO !
Et vous, pourriez-vous travailler dans une entreprise qui ne correspond pas totalement à vos convictions ?
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